Elara Bertho dans Diacritik fait une lecture très poussée du dernier reccueil de Abdourahman A. Waberi, Mon nom est Aube. A lire ICI.

Frédérique Briard rend hommage au roman de Yambo Ouologuem, Les Mille et une bibles du sexe, dans un très bel article publié dans Marianne :

« Un texte fou, grandiose, tellurique par son écriture et l’audace du sujet. »

Voir l'article dans Marianne, du 2 juillet 2015.

Un article sur Paradis blues de Shenaz Patel paru dans Le Mauricien à lire ICI.

Mustapha Harzoume dans Le magazine de la Cité du musée de l'Histoire de l'Immigration a écrit un long article sur Les Fils du Jour de Yahia Belaskri.

C'est à lire ICI.

Didier Bazy dans Reflets du temps a écrit une belle critique du Port de Jean-Yves Loude illustré par Némo. 
« Le Port une traversée du cœur »...

A lire ICI

« Quand on pense à ce qu'il a écrit à 25 ans, on peut considérer qu'à 50 ou 60 ans, [Duiker] aurait été le Proust de l'Afrique ! ».

Très belle chronique à écouter ci-dessous (de 10'25 à 17') à propos de La sourde violence des rêves de K. Sello Duiker. C'est ICI.

Une interview de Hassina Mechaï : « Auteur du roman Les Fils du Jour, son quatrième, Yahia Belaskri s'intéresse à l'Algérie pendant la guerre de conquête au XIX^e siècle. Il se confie. »

La suite ICI

Un article dans Sab's pleasure sur Paradis Blues de Shenaz Patel :

« La musique de ce texte vous embarque, vous aspire dans ce bleu, à la fois horizon azuré, lumineux, et triste océan d’une âme insulaire. C’est un chant de révolte, qui commence comme un blues, discret, presque léger, pour devenir cri. »

A lire ICI.

Un magnifique article de Julien Delmaire sur Les Fils du Jour de Yahia Belaskri.

Vous pouvez le lire ICI.

Le port de Jean-Yves Loude et Némo qui paraît aux éditions Vents d’ailleurs en cette fin d’année 2014 est un texte en prose animé par la révolte. Il l’est aussi par une poésie généreuse...

Lire la suite ICI

Sophie Haluk a reçu Kenan Görgün dans son magazine Odyssées immigrées surAligre FM 93.1. Vous pouvez réécouter l'émission ICI.

Nicolas Michel a écrit un long article sur La sourde violence des rêves. C'est ICI.

« Par son audace, Duiker a marqué l'histoire de la littérature »